Un lieu à ma mesure... [OMI]

Omi sentit son coeur s'affoler quand il sentit Hide lui faire un suçon. Merde, comment pourrait-il camoufler ça ? Mais les gémissements de son amant le tirèrent de sa réflexion. Il régula ses coups, y allant aussi lentement qu'il pouvait le supporter.

- Je peux aussi prendre mon temps tu sais ?

Puis, alors que le vice-président resserait son étreinte, il enchaîna par une série de coups rapides, frôlant sa prostate. Le démon se cambra de plaisir, haletant.

- Alors, ca te plaît ? Ou tu préférai avant ?

Il reprit une cadence délicieusement mesuré. Il comptait bien torturé son ennemi jusqu'au bout..Enfin, s'il tenait.

Hidéaki ne tenait pas, c'était différent, mais si bon. Pour qu'on n'entende pas ses gémissements, il mit ses mains devant sa bouches, puis, préféra autre chose. Il colla ses lèvres contre celles d'Omi pour les camoufler. Ainsi, il pouvait à loisir caresser le corps de son amant... Omi, un amant? L'idée était assez saugrenue, voire même invraisemblablre, et pourtant. Et on disait de lui qu'il était pervers, un démon, mais c'était qui qui le torturait en ce moment, hein? Une douce torture, délicieuse, et pleine de plaisir. Il posa ses mains sur les fesses de Omi et sourit légèrement avant de répondre.

-Tu te lasseras avant moi... Tu n'es pas assez résistant... Fais ce que tu veux...

Il disait ça, il était très résistant en général, mais là, il était dans une position soumise, et c'était la première fois, il ne savait par conséquent s'il pourrait tenir à la torture plaisante du trésorier adjoint.

Le contact des mains du vic-président perturba Omi. Il failli se laisser emporter; mais se contint. Seul un coup plus puissant que les autres le trahit. Hideaki laissa un sourire de victoire apparaitre sur ces lèvres.

- Si tu le prends comme ça...

Le vice-trésorier roula,et Hide se retrouva sur lui.

- Puisque tu pense faire mieux, vas- y.

Et pendant que le démon imposait son rythme, Omi se vengea en laissant plusieurs marques sur son torse.

Ils avaient roulé, Hidéaki était toujours pénétré, mais c'était lui qui imposait son rythme. Un rythme calculé, qui rendrait fou n'importe quel amant, il y allait tellement doucement que ça en était insuportable, et tellement délicieux. Mais cette peste de Omi lui laissa des suçons sur le torse. Il voulait jouer à ça? Très bien, ils allaient jouer. Attrapant les poignets de son amant, il les plaqua au sol et se pencha, tout en continuant les mouvements, sur le torse d'Omi. Il lui laissa d'autres suçons. la guerre des suçons était lancée.

-Tu vois que c'est bien mieux quand c'est moi qui gère, tu n'as pas assez d'expérience Omi...

Bon, lui, dans cette position, il n'avait pas d'expérience du tout... Tout à coup, il ferma les yeux et envoya sa tête en arrière. Non, il devait se rtenir, ne pas craquer avant Omi surtout, ne pas craquer, il lui avait lancé un défi, il se devait de le remporter.

Omi ne tenait plus qu'à un fil. Il fallait dire qu'Hideaki se démerdait bien. Mais plutôt mourir que de le reconnaître. Il tressaillit quand le démon reprit sa séance de suçon. Il allait vraiment pas ouvoir cacher ça. Quand Hide ferma les yeux, il donna un léger coup de rein, et souffla sur son torse. Altrnant chaud et froid avec ses baisers.

- Alors, que dis-tu de ça mon cher ?

Le vice-président répliqua en traître...Il vint lui sucoter le lobede l'oreille. Point sensible de l'adjoint en trésorerie.

Que disait-il de ça? Qu'il n'allait pas tarder à craquer... Et il ne fallait surtout pas. Non, surtout pas. Il regarda Omi et sourit, Omi avait découvert un de ses point sensible, l'oreille, alors autant faire un essai. Il lui suçotta d'abort, puis la lui mordilla. C'est lui qui allait craquer. Euh... En fait, il ne falalit pas qu'il craque. Non, Omi ne devait pas éjaculer en lui...

-Laisse moi maintenant, je.. Ne viens pas en moi...

Ce serait vraiment la honte de sa vie. Il stoppa les mouvements et s'apprèta à se retirer à temps, mais... Non, il ne s'y résolu pas, et retourna donner un baiser passionné à Omi.

-Ne pars pas... reste avec moi...

Il ne s'était pas rendu compte, mais il parlait autant à Omi qu'à son passé, quand sa mère était partie, et n'était pas revenue avant un bout de temps.

Omi s'inquiéta un instant quand Hideaki parla de partir. Mais il fut rassurer quand celui-ci changea d'avis. Il devait vraiment être bourré pour agir aussi bizarrement. Mais l'djoint en trésorie laissa là ses préoccupations, car le mouvement que le brun avait fait pour l'embrasser lui tira un gémissement.
Il ne tiendrait pas, c'était impossible.
Il monta son bassin plongeant plus profondément que jamais en son amant. Ce qui eu pour effet de faire lâcher prise au vice-président en même temps. Finalement, aucun des deux n'avait gagner. Leur mouvement se firent plus rapide, plus secs. Omi saisit le démon par les hances, accélérant encore.

Eh, pas touche à ses poignées d'amour... Il avait les larmes aux yeux telelemnt il appréciait cette torture de plaisir. Il avait laché, et Omi égalemetn, et pourtant, ils continuaient. Mais il était épuisé, il ne pourrait pas rester longtemps debout. Il fit un mouvement sur le côté pour rouler de nouveau avec Omi, et se retrouver en dessous. Il gémissait à chacun de ses coup de verge. Il était si puissant.

-Je... Omi, s'il te plait, je suis épuisé... Et tu n'es pas mieux que moi, dormons...

Il lui caressa le visage doucement, et lui approcha le visage pour l'embrasser. Il rougit à sa réacton, il faisait quoi là? Il avait l'impression de revoir une de ses ex petite amie qui lui demandait d'arrèter, et il avait continué. Le rôle de la victime était certes plaisant, mais on ne pouvait pas faire comme on voulait, on devait attendre que l'autre est fini. Il savait maintenant ce qu'avaient enduré toutes ses conquètes, surtout Keita.

-Continue si tu le veux...

Il ferma les yeux, enleva ses lunettes qu'il posa un peu plus loin et se laissa besogner comme il se devait par Omi.

Omi prenait son pied. C'était tellement bon. Et se mêlait en plus le plaisir de dominer. Dominer son pire ennemi, c'est tellement...Jouissif. Hideaki abandonnait. Le valet de la Reine eu un sourire de victoire. Qui s'effaca lorsque le vice-président lui caressa la joue ? Mais à quoi jouait-il ?
Enfin, lui aussi fatiguait. Il continua encore un peu, et se libéra dans un râle. Il embrassa son amant avant de lui dire :
- Merci Tu as été parfait.
Puis il enfouit sa tête dans son cou, et tout les deux s'endormirent.

La reine cherchai Omi depuis un moment déjà. Il avait un problème avec l'ordinateur d'Umino et Kaoru ne pouvais pas faire face à ce genre de problème. Il avait déjà cherché partout, en générale Omi est toujours à ses cotés et cette absence donnai une impression bizzard au trésorier. Il devait surement être dans la salle info. Frappant à la porte il n’entendit personne, il ouvrit la porte doucement et, à sa grande stupéfaction, surpris Omi et la bête l'un à coté de l'autre, complètement nu. Kaoru resta quelques minutes comme ça, immobile. Il prit une souris d'un ordinateur et la jeta sur son adjoint, comment avait il pu lui faire une chose pareil, à lui, alors qu’ils étaient ensemble. Son adjoint se réveilla en sursaut, une main sur le front, surement avait il mal à la tête. Tant pis pour lui, Omi regarda la reine avant qu'il ne s'en aille. Il c'était fait abuser par ces deux personnes, toutes les deux avais profité de lui, c'était inacceptable. Il ne voulait pas se venger de la bête mais plutôt de Omi qui c'était joué de lui. Il fallait qu'il le trompe avec quelqu'un.

Hidéaki se réveilla. Il avait dormi avec quelqu’un cette nuit, et il le tenait dans ses bras. Il avait mal à la tête. Mais où était-il ? Il n’était pas dans un lit. Il ouvrit ses yeux, et quand il vit, troublement, qu’il s’agissait d’Omi qui était dans ses bras, il se recula rapidement loin de lui. Et il fit une étrange découverte. Il avait mal au derrière. Il posa ses mains sur ses fesses, elles étaient dégoulinantes. Quel gros porc ce mec, il s’était répandu en lui, déjà qu’il l’avait laisser faire, mais là… Pas possible, ce chien de garde de la trésorie l’avait dominé ? Non, il…Il prit ses lunettes et les remis, puis, il s’habilla à la hâte. Il voudrait bien le castrer pour ce qu’il avait fait mais… Il vit alors les marques sur la peau de Omi, et sur la sienne. Ils étaient consentants tous les deux ? Il gémit à cette idée. Posant sa tête dans sa main, il la secoua doucement, car il avait la gueule de bois. Donc, il avait autorisé que Omi se répande en lui ? Mais il était givré ? Il fallait se faire soigner Hidé, et le plus rapidement possible. Il regarda Omi qui avait toujours les yeux fermés. Un bébé, il dormait comme un bébé, et il avait le sourire aux lèvres. C’était la première fois qu’il le voyait comme ça, et il sentit la chaleur monter à ses joues, et son cœur battre à tout rompre. Il avait un sourire attendrit… Il fallait vraiment qu’il se fasse soigner là, car il venait de découvrire avec effroi qu’il était tombé amoureux de lui. Amoureux de Omi… Pas possible… C’était le seul qui avait jusque là, réussit à le dominer… Et la prochaine fois, ce sera lui qui le dominera… la prochaine fois ? Mais il n’y aura pas de prochaine fois… Il faudra qu’il lui envois un mail pour que, discrètement, sans que personne ne le sache, il vienne dans sa chambre pour qu’ils découvrent cet informaticien mystère. Il s’approcha de lui et lui caressa doucement le visage.

-Tu m’effrayes Omi, mais je suis tombé amoureux de toi…

Il vit alors une souris par terre, ce n’était pas eux qui avaient fait ça. Ils étaient trop respectueux de ces engins pour avoir fait ça, ce qui signifiait que… Quelqu’un les avait vus… Oh Dieu tout puissant, il fallait qu’il trouve cette personne et qu’il la fasse taire à tous prix.

Il entendit un murmure, et une porte claqué. Mais bon sens, c'était quoi cet internat où on ne pouvait pas dormir tranquille ? Omi chercha à enfouir sa tête dans son oreiller mais...Il ne le trouvait pas. D'ailleurs, il n'était pas dans son lit. Serait-il tomber ?

Il ouvrit les yeux, et aperçu la salle informatique. Ca lui revenait. La soirée avec Hide, et tout le reste...Il sourit et s'assit, avant de s'étirer. C'était vraiment une bonne nuit. Il s'étira, et entreprit de s'habiller. Sa chemise se colla su son ventre humide. Tiens donc, Hideaki aussi avait aimé apparement...

Le vice-trésorier sortit rapidement, et regagna sa chambre pour prendre une douche, sans croiser personne. Ne faisant pas attention à la souris qui traîner par terre, ni aux canettes abandonner sur le balcon. Surtout celles pleines...