Un lieu à ma mesure... [OMI]

Hidéaki aimait cette salle, il s'y sentait bien, c'était rare ce genre d'endroit. Il aimait être en contact avec un clavier, regarder un écran, et pirater un peu Omi, c'était vraiment amusant. Il n'était pas encore connecté d'ailleurs. Il y avait plusieurs cracs en informatique, Omi, Lui même et cet inconnu qui avait fait le système de sécurité du lycée. D'ailleurs, il essayait toujours de savoir de qui il s'agissait. Il s'y prenait même en ce moment même. C'était quelqu'un de très doué qui avait fait ce logiciel. Mais il l'aurait, à l'usure s'il le fallait. Il était très concentré, et n'entendit pas qu'on entrait dans la salle informatique, son paradis sur terre, sauf au lit avec quelqu'un. S'il avait su qu'il s'agissait d'Omi, il se serait levé et serait allé le voir pour lui faire payé ce virus qu'il avait reçu. Il regarda son écran, c'était plus compliqué qu'il ne le croyait. Il poussa un profond soupire, se laissa glisser sur la chaise, et, fermant les yeux, il laissa tomber sa tête en arrière.

-Je l'aurais un jour, je l'aurais...

Omi entra dans la salle informatique. Silencieux comme toujours. Il vit alors son pire ennemi penché sur son écran. A tel point concentré qu'il ne l'avait pas entendu rentrer. Les cheveux carressèrent la nuque du beau brun quand il se redressa en murmurant qu'il l'aurait. Mais qui ?
L'assistant trésorier s'inquiéta un instant du fait que ce pouvait être lui la cible d'une nouvelle attaque. Mais en s'approchant, il vit que ce n'était pas la trésorerie que ce serpent d'Hidéaki tentait vainement de pirater encore une fois. Il se pencha à l'oreille e son homologue du conseil de élèves et lui sussura :

- Alors comme ça, on s'attaque à un autre gibier ?

Hidéaki mit sa main sur son oreille. c'était un endroit sensible bon sang. Mais cette voix. Pourquoi était-il là ce chien de garde de la trésorie, c'était son sanctuaire... Puis, il se souvint que Omi aussi était un informaticien hors pair... Comme lui. Mouais, mais ce n'était pas une raison pour lui parler à l'oreille. Il se leva et lui fit face.

-Que viens tu faire ici? Tu m'espionnes?

Puis, il tourna son visage vers l'écran.

-Qui peut être aussi, voire plus doué que nous en informatique Omi? Je me le demande, et je cherche encore...

Il eut un petit sourire espiègle et remonta ses lunettes, puis, allant ouvrire une fenêtre, il sortit sur le blacon et commença à fumer.

-t'en veux une? Ce n'est pas tous les jours que je suis aussi gentil...

Il sourit en le voyant frotter son oreille. C'est souvent un bon moyen d'irriter les gens, alors Hidéki. Mais la phrase du vice-président l'étonna. Quoi, aucune insulte rien, juste une question ? Il haussa les épaules n'ayant lui même aucune réponse à apporter à cette énigme.
Omi regarda le démon aux lunettes esquisser un sourire amer, et se diriger vers le balcon. Sa proposition le fit sourciller. Mais après tout...

- C'est sûr que c'est peu courant. J'aurai aimé, mais je ne fume pas.

Cela ne l'empêcha pas de venir sur le balcon tout de même.

- Alors Hidéki, que sais-tu de cet informaticien mystère ?

Tirant quelques bouffées, il regarda Omi. Un petit sourire sadique s'afficha à ses lèvres.

-Tu crois que je vais te donner mes sources comme ça? Non, il me faut quelque chose en échange Omi...

Il regarda Omi de haut en bas. Non, pas ça, pas avec Omi, surtout pas avec lui.

-je te donne une information, et tu m'en donnes une, d'accord? Tu veux boire un coup? J'ai de la bierre...

Hidéaki était très résistant à l'alcool, et qu'en était-il d'Omi? Allait-il délier sa langue sous l'effet de l'alcool? C'était une bonne idée ça...

Omi soupira. En même temps, il savait qu'il y avait peu de chance que ce démon marche et lui donne ses sources. Il regarda le sourire en coin qu'affichait Hidéki. Ce sourire qui le...Mais qu'est-ce qu'il racontait? Il délirait.
Tiens, on lui proposait une bière. Il faisait peu la fête, mais l'alcool ne le dérangeait absolument pas. Il n'était pas aussi sûr que le vice président pourrais le suivre. Il sourit.

- Avec plaisir, je ne refuse jamais un verre.

S'asseyant par terre, il avala en premier une lampée, avant de reprendre :

- Bien, que désires-tu savoir ?

Hidéaki sourit, oui, Omi tombait dans son piège. Il se mit assit et bu une bonne gorgée de bierre. Omi lui posa alors une question, ce qu'il voulait savoir.

-D'abort, lorsque je lance un pistage, je suis envoyé un peu partout, alors, je voudrais savoir si toi aussi, ça t'arrive... Je le perds toujours vers Kyoto... C'est énervant, vraiment...

Hidéaki n'aimait pas être tourné en ridicule. Mais, là, il devait s'avouer vaincu, ce mec le tournait vraiment à la dérision. Il bu une autre gorgée.

-Qui penses tu que ce soit? Un élève? Un prof? Voire même l'infirmier...

Non, ce n'éait pas possible, il était vraiment paranoïaque quand il s'y mettait. Il fini sa canette.

Tiens donc, lui aussi était envoyé à Kyoto quand il lançait un pistage ? Mais avant qu'il ne puisse acquiescer, Hidéki reprit, se demandant qui pouvait être l'auteur de cette sécurité.

- Je ne pense pas que ce soit un élève. On l'aurait su depuis le temps, s'il y avait eu une personne aussi callée en informatique. Et puis, l'infirmier, tu te fait des idées je pense.

Un nouveau silence. L'assistant en trésorerie reprit une gorgée, tandis que le vice-président ouvrait une nouvelle canette.

- Non, je pense que ce serait plutôt quelqu'un du personnel administratif. A la limite du corps enseignant, mais je ne pense pas.

Il réfléchit à l'idée...Le prof de biologie ? Ou peut-être celui d'informatique. Mais il y avait peu de chance. Il avait déjà réussi à pirater leurs ordinateurs une fois. C'était peut-être le vice-principal après tout. Omi en était là de ses réfléxions, quand il vit qu'Hidéki restait le regarder, avec une certaine insistance.

Hidéki lui tendit une autre bière. Il n'avait même pas finie la sienne. Alors comme ça, il voulait le bourrer ? Et bien, il ne savaipas à quoi s'attendre. Il reposa la première à peine, entamer. Et ouvrit la seconde.

- Oui, la Reine, est en général au courant. Et je ne me souvienspas qu'il m'est parlé d'un élève de ce genre.

Il but un peu, regardant toujours Hidéki. Il observa avidement couler une goutte le long de la joue de son interlocuteur. Mais que lui arrivait-il ? Il respira un bon coup, et tenta de penser à autre chose.

- Ce qui nous ramène à l'administration. C't peut-être le principal ? Je ne l'ai jamais vu? Mais en même temps il doit avoir autre chose à faire. Ce qui nous ramène à son assistant.

Hidéki vint s'asseoir à côté delui, sans répondre.

Il s'essuya la bouche, une goutte était tombée. Il regarda Omi.

-Aller, bois plus, et plus rapidement ce n'est pas drôle autrement...

Il remonta ses lunette quand il vit le regard d'Omi. il lui faisait quoi là? Non mais sans blaque... Il se rapprocha de lui, sans trop savoir pourquoi. C'était très étrange. Il le détestait pourtant. Il écouta ce qu'il disait. Le principal? Pas une trop mauvaise idée... Mais pourquoi, à chaque fois que quelqu'un allait le voir, il trouvait un nounours bleu à sa place? C'était plus qu'étrange. Il devait avoir plus de temps qu'on ne pouvait le penser en fait. Mais l'idée que ce soit son vice-président était plus vraisemblable. Quand on voyait que Niwa avait en sainte horreur les ordinateurs, il s'était fait à l'idée que les ordinateurs n'étaient que pour les seconds, comme lui et Omi. Il pencha sa tête en arrière, passant sa main dans ses cheveux.

Omi profita qu'Hidéki fermait les yux et se recoiffait pou vider sa cannette dans la première. Quand le démon rouvrit les yeux, il fit but ce que contenait encore le récipient métallique.

- Fini. Tu veux savoir autre chose ?

Le vice-président remis ses lunettes en place, et lui passa une autre bière. Puis but à son tour. Il semblait réfléchir, mais à quoi?
L'adjoint trésorier sentait la chaleur de la peau d'Hidéki à travers le tissus. Leur épaules étaient presque en contact à présent.

- Je voulais savoir moi, si tu recevais aussi un virus quand tu réussissais à perçer un tant soit peu la protection de l'école ?

Il but un peu, attendant une réponse.

Hidéaki prit la bouteille en souriant. Avait-il mal jugé Omi? Ou essayait-il de jouer au jeu qu'il était sencé jouer lui. Faire boire l'autre pour avoir des informations. Tiens... Il parut surpris de la remarque du chien de garde.

-Un virus? Alors je ne suis pas le seul... Et je suis sûr qu'il s'agit d'un virus puissant, un peu comme ceux que tu m'envois...

La spécialité de Hidéaki, le piratage, celle de Omi, le virus... S'ils étaient alliés, ils feraient un malheure... Et mais oui...

-Et si on mettait, pour une fois, nos efforts en commun, on pourrait arriver à quelque chose...

Il tenta de se lever, mais il tituba. C'était d'avoir bu des bierres trop vite... tant pis. Il but la bouteile que lui avait donné Omi. Puis, il se mit à compter les cadavres. Il y en avait 6. Ce n'éait pas suffisant pour bourrer Omi, ni pour le bourrer lui...

Omi ralentit le rythme. Il n fallait pas qu'il se laisse prendre au piège. D'ailleurs, quand Hideaki se retourna pour se resservir, le contenu de sa canette disparut mytérieusement par-dessus la rembarde.

- Faire équipe ? Pourquoi pas, on ferait un malheur !

C'était même certain. Il pourrait envoyer un virus pour coincer le système et le vice-président pourrait attaquer derrière. Oui, ca pouvait marcher, mais à certaines conditions...

- Mais tu penses pour réussir. Me supporter, et qu'on agisses de concert.

Lui même n'était pas sûr de tenir. Surtout si Hideaki conservait cette attitude perverse qu'il avait si souvent.

- Il faudra qu'on passe du temps ensemble tu sais? Beaucoup de temps...

Hidéaki fut surpris. Mais, force était de constater que Omi avait raison, et il détestait quand celui-ci avait raison. Manque de chance pour Omi, il remarquait tout. Il pouffa de rire, prit une autre bouteille et la colla dans la bouche de Omi.

-Si je dois boire, alors ne te défile pas Omi… Je ne suis pas aussi idiot que tu peux le penser. J’ai déjà pensé à tout ça… Beaucoup de temps… Certes , mais il ne faut pas qu’on sache qu’on travaille ensemble, d’accord ? Ma réputation en prendrait en sacré coup.

Beaucoup de temps avec Omi ? S’ils avaient un moyen de faire cesser un peu leur différent, alors pourquoi pas. Il se leva, et, titubant, alla à son ordinateur… Il tendit sa main à Omi et le leva rapidement. Niark, l’alcool lui monterait rapidement à la tête… Mais il n’avait pas assez bien dosé sa force et il se retrouva bouche à bouche avec Omi. Il rougit, et c’était une première, personne n’avait fait rougir Hidéaki Nakajima, le vice-président du conseil des élèves. Pourquoi ? C’était très étrange. Mais il ne décolla pas ses lèvres pour autant de celles de son meilleur ennemi. Il le serra même d’avantage contre lui. Tient, il était bourré ? Oui, ça devait être ça… Il était bourré, autrement, il ne se conduirait pas comme ça. Il se surprenait lui même. Il regarda Omi après avoir rompu le baiser. Il ne comprenait pas ce qu’il se passait, mais une chose était certaine, il voulait aller plus loin, maintenant… Et l’endroit était des plus excitant. Plus il pouvait y avoir du monde qui passait, plus le danger était grand, et plus le plaisir et l’envie étaient grands. Oui, il voulait Omi, maintenant, ici et tout de suite…

L'adjoint en trésorie ne comprenait pas ce qui se passait. Pourquoi étai-il en train d'embrasser le vice-président. Mais surtout, pourquoi rougissait-il ? Cela l'effrayait, un nouveau plan de la part d'Hideaki peut-être. Mais lorsqu'il croisa son regard affamé, il comprit que l'alcool y étais pour quelque chose.
Mais Omi, n'étais plus tout à fait lui même non plus. Et le challenge proposé était de taille. Avoir Hideaki...Pourquoi pas?
Saississant le démon au lunette par le col de sa chemise, il l'attira à lui pour un nouveau baiser. Fievreux, et violent. Le poussant, il l'appuya contre le mur. Bloquant ses mains dans son dos au passage.
Sans décoller ses lèvre de celles de osn ennemi, il déboutonna sa chemise, et ses mains partirent à la découvert de ce torse d'albâtre qui se présentait à lui.

S'il avait été dans un état plus normal, il n'aurait eut aucun mal à le respousser, mais il ne voulait pa le faire. Omi semblait doué. Il le laissa donc faire. C'était étrange, d'habitude c'était lui qui faisait ce que faisait actuellement Omi. Se retrouver dans la position inverse le déroutait énormément. Allait-il le laisser faire? Oui, peut-être! Il répondit au baiser violent de Omi, c'était vraiment intéressant. Il frissona quand il sentit les mains fortes de Omi le caresser. Il ferma les yeux, se mordant la lèvre inférieure de plaisir. C'était stimulant. Il n'était pas habitué. Il gémit. Tient, il poussait ce genre de cris lui? Il pensait à Keita qui poussait ce genre de bruits aussi. Il était donc descendu à ce niveau? Il leva son regard vers Omi.

-T'as envie de moi Omi? T'es bourré mec...

Dit-il avec un petit rire. Lui aussi était bourré, il n'était pas capable de comprendre ses actes correctement. Il allait sûrement le regréter le lendemain.

Lui bourré ? Sûrement moins qu'Hide en tout cas. Il continua ses caresses, descendant toujours plus bas. Ses doigts étaient maintenant à la base du pantalon, s'y glissant parfois, avant de remonter prestement. Puis, tandis qu'il explorait son torse à coup de langue, en en redessinant les muscles de la pointe, il déboutonna le pantalon du démon.
Puis, alors qu'Hideaki ne s'y attendait pas le moins du monde, il saisit sa partie sensible, à travers le tissu du boxer.
Il positionna ses lèvres à quelques centimètres de leurs homonymes. Il allait jouer un peu avant...

- Je ne suis pas sûre d'être celui qui en est le plus envie On peut tout arrêter là si tu veux ?

Il souriait, attendant la réaction du vice président.

Hidéaki tremlait, frissonnait. Mais... ce n'était pas dans ses habitudes, pourquoi était-il comme ça? Il... Il aimait ce que lui faisait le chien de garde de la trésorie. Il lui saisit le service trois pièces et il gémit. Il était... Oh, il avait vraiment envie... Quand la réplique sèche tomba, il dégagea ses mains de son dos et attira Omi à lui en le tenant par la nuque et il le caressa à son tour. Il posa sa main sur le pantalon d'Omi. Tient donc, monsieur n'était pas celui qui en avait le plus envie? Pourtant il était tout dur. D'un sourire espiègle, il répondit à Omi.

-Tu es pourtant bien excité Omi... On continue... Je...

Il allait le regréter le lendemain, il le savait... Il ouvrit la chemise du trésorier adjoint et il lui caressa le torse avec une envie de plus en plus grande. Il ouvrit à son tour le pantalon de Omi et y glissa sa main.

-Allons jusqu'au bout. Je n'aime pas laisser les choses faites à moitié...

Il le regarda avec envie et se saisi à son tour de son service trois pièces et il allait jouer avec, il allait lui montrer qu'il était expert en la matière.

Il tressaillit quand il sentit la main d'Hideaki se saisir de lui. En effet, lui non plus n'était pas très calme. Mais c'était la faute de de démon aussi. Quelle idée de lui proposer ce genre de chose à un tel endroit. Le plaisir ne pouvait qu'être décuplé. Mais pa contre, le fait que son ennemi puisse le dominer lui déplaisait fortement.
Il remis alors le vice-président à sa place, c'est à dire contre le mur. Puis il saisit ses poignet, et les bloqua au-dessus de sa tête. Il n'aimait pas la façon de faire rapide et brutale de son partenaire. Lui préférait s'amuser un peu avant.
Collant ses lèvres à celles de son ennemi, il lui donna des coups de bassin. Tirant ainsi des gémissement à Hideaki.

- Que dirais-tu de t'allonger ?

Hidéaki soupira d'aise, il était aux anges. Omi lui tenait les poignets... Il pouvait se dégager, mais ce n'était pas dans ses envies du moment. Il se laissa faire par ce pervers joueur. Ses lèvres contre les siennes, ses coups de bassin, c'était si plaisant. Il lui proposa de s'allonger. D'accord, il s'allongea sur le sol recouvert de moquette. Encore une chance. Il regarda Omi et l'attira contre lui. Puis, il tourna et se mit au dessus de lui. Il lui lécha l'oreille, puis il lui mordilla un téton. C'était bien ainsi, dominant Omi, il était le plus fort, et il le resterait. Il colla de nouveau ses lèvres contre celles de Omi, tandis qu'il enlevait le pantalon de son meilleur ennemi.

-Tu vas aimer, je t'assure...

Il joua avec la troisième jambe du trésorier adjoint, et s'amusa de nouveau avec ses lèvres.

-Alors?

Les carresses d'Hideaka faisait beaucoup d'effet à Omi. Mais, être dominé ne lui plaisait pas du tout. C'était un sentiment qu'il savai partager avec son partenaire. Mais il pensa qu'il pouvait profiter de l'ivresse de ce pirate informatique.

- Tu te débrouille pas mal, c'est vrai. Mais je crois que je peux faire mieux.

C'était à lui à présent de donner le mouvement. Empoignant son membre, il commença unee alternance d'aller-et-retour lents et rapides. Puis finissant de se déshabiller, il descendit sa main plus bas. Il sentit le vice-président se raidir, mais n'en continua pas moins dans son oeuvre.
Omi hésitai néanmoins un instant. Il pensait qu'il regretterait ensuite, mais le plaisir d'avoir possédé ce démon resterait.

Hidéaki gémit de plaisir. Il allait se faire prendre par Omi? Non, c'était impossible, encore que. C'était plus excitant. Se faire prendre par Omi? Il allait le dominer? Lui??? Très bien, mais la fois prochaine, se serait à son tour de le dominer. Il se sentait bien comme ça.

-Que... Pourquoi hésites tu? Tu préfères peut-être que ce soit moi qui te prènne?

Il gémit de plaisir et embrassa Omi. Non, il voulait être prit. Il bougea le bassin de droite à gauche. Il laissa Omi prendre les choses en main. Oui, il fallait absoluement qu'il se fasse prendre, une toute nouvelle expérience, et c'était avec son meilleur ennemi.

-Viens... Prends moi...

Pourquoi disait-il ça? Il ne voulait pas, si il voulait... Oh... c'était compliqué...

Omi faillit s'emporter à l'entente des phrases prononcées par le vice-président. Comment pouvait-il se conduire correctement après cela ? Ce n'était pas sérieux...

- Vos désirs sont des ordres, vice-président.

Délicatement, il pris la peine de préparer Hideaki. Celui-ci se cambra quand il sentit l'intrusion, certe autorisée, mais quand même douloureuse, du vice-trésorier en lui. e spécialiste en virus marqua un arrêt, le temps que son amant s'y fasse. Callant les jambes d'Hide autour de son bassin, il récupéra ses lèvres pour un autre baiser. Et quand il le senti détendu, Omi commença ses va-et-vient. Il sentait la peau se resserer autour de son membre en un étau voluptueux. Ces coups de bassins se firent plus secs. Hideaki pussa un gémissement de douleur et de plaisir partagé.

C'était une très étrange sensation en sois. Douloureuse, mais pleine d'extase... Il ne recommencerait plus. Trop dur à suporter, Il préférait infliger la douleur que la reçevoir. Pour ne pas trop perdre à ce jeu là, il griffa le dos d'Omi, et lui fit un suçon dans le cou. Bien fait, comme ça, les marques resteraient plus longtemps, mais lui, demain, il marcherait bizarrement, c'était certain, et ses coups de pieds légendaires perdront un peu de leur efficacité. Mais bon, c'était vraiment bon. Il venait pas de dire qu'il n'aimait pas? Euh, l'alcool lui était monté à la tête, c'est évident. Il gémissait toujours plus fort en suivant le rythme endiablé du trésorier adjoint.

-Je... Omi... S'il te plait... ne...

Il ne devait pas s'arrèter, il en avait envie, plus, encore... Mais quand il s'arrèterait, il le repdnrait dans ses bras et s'endormirait après avoir enlever ses lunettes, et ne le lacherait pas. Pourquoi était-il comme ça? Il haïssait Omi pourtant, c'était son ennemi, ça n'avait aucun sens autrement. Mais son coeur battait si vite...