Fabrique un philtre d'amour [PV]

Il lui avait dit qu'il ne voulait plus de lui, qu'il ne ferait plus rien avec lui, en gros, il le larguait. Omi ne pouvait pas lui faire ça, il n'en avait pas le droit. Il l'aimait lui, bordel... Sa mère était une chimiste, il savait quoi faire, elle lui avait apprit, quand elle était à la maison. Il n'avait pas eut une enfance heureuse, ses parents n'étaient jamais là, trop occupés par leurs affaires, ou leurs parfums... Il avait du se débrouiller seul, depuis toujours. C'était la raison pour laquelle il avait chercher à s'attirer du monde dans son lit, c'était sa manière à lui de se faire aimer. Jusqu'à Omi, il ne asvait pas ce que voulait vraiment dire aimer. Pourquoi ce chien débile ne le comprenait pas? Il avait besoin de lui, ou il en mourrait sûrement. Et de toute façon si lui ne pouvait l'avoir...

-Personne ne l'aura...

Dit-il avec colère, tout en faisant tomber du sulfate d'argent dans un bécher. L'argent, c'était efficace pour l'amour. Sa mère lui avait donné la recette, lui disant que c'était grace à ce produit qu'elle avait pu mettre d'autres hommes que son père dans son lit. Son père l'utilisait aussi, pour mettre des femmes dans son lit. Lu, il n'en avait jamais eut besoin jusque là, mais là, il devait le faire, il allait le mettre dans un parfum. Un parfum rien que Pour Omi, il y mettait un peu de son sang, ainsi, c'état de lui que Omi tomberait amoureux, et alors, il serait heureux. Si par malheur, ça ne marchait pas... Il... Il ferait tout pour qu'il n'appartienneà personne d'autre.

Omi courait dans le couloir. Ce salaud. Il avait promis pourtant de ne pas toucher à un seul cheveux de Kaoru. Et en plus...Il allait...Le vice-trésorier se rappela la phrase exacte du mot qu'il avait retrouver sur son pallier... "Et si tu tardes trop, je finirais le jeu que j'avais entamé avec ton cher ami".
Il serra les dents. Quelle erreur il avait commise en s'affiliant avec ce monstre. Il arriva dans le batîment des laboratoires. Et rentra dans la salle de chimie à toute vitesse.

- Où il est espèce d'ordure! Qu'est-ce que tu lui a fait ?

Hidéaki sourit, il arrivait juste à temps, il venait de finir. Il était content, puis, il regarda Omi qui était en colère.

-Allons, je voulais juste te voir mon amour, si je t'avais dit que je voulais te donner un cadeau, tu ne serais jamais venu, je crois l'avoir vu das les jardins, mais je n'en suis pas sûr.

Il ferma la bouteille de parfum et la tendit à Omi. Il sourait comme une gamine qui offre un chocolat pour la saint valentin. IL était en extasedevant le corps de celui qu'il aimait.

_Je ne supporte pas l'idée que tu sois avec quelqu'un d'autre Omi, je t'aime.. Et Dieu seul sait que je n'aime pas dire ces mots... Alors, s'il te plait, accèpte ce présent...

Omi se retint de lui sauter à la gorge. Mais il devait d'abord récupérer son souffle. Et ensuite il tuerait Hideaki. Lui faire une telle peur, et surtout l'avoir fait courir au point de paraître négligé.

- Bon, c'est vrai, je ne serais pas venu, mais il y avait sûrement une autre solution que de me faire frôler la crise cardiaque. Enfin...

Il regarda le brun qui lui tendait un flacon. Il le prit. Bon, il avait vraiment été sec quand il avait mis fin à leur semblant de relation. Il pouvait au moins lui accorder ça.

- Bon d'accord. Je le porterais ce soir, pour la fête. Maintenant, j'y vais.

Et sans plus de chichi, il sortit de la salle pour retourner se préparer.